saceptrt l s’accepter tel que l’on est 18.11.14 16:33. s’aceptrt l rester actif s’aceptrt l en parler 201434442_Femmes_Moderationskarten_FRANZ.indd 3 18.11.14 16:33. s’aceptrt l rester en contact avec des amis 201434442_Femmes_Moderationskarten_FRANZ.indd 4 18.11.14 C’est dĂšs le plus jeune Ăąge que la construction d’une image se forge. Une fois adulte, notre histoire nous rattrape, tels des fantĂŽmes nous poursuivant sans cesse. De lourds passĂ©s, des complexes, des dĂ©fauts, ou encore des Ă©checs, s’affichent consciemment ou inconsciemment devant nos yeux. Se construire ou reconstruire devient alors parfois un combat du quotidien. La Woman Mag allĂšgue que s’accepter tel que l’on est, est une chose tout Ă  fait possible. Aujourd’hui les femmes mĂšnent bien des combats contre la sociĂ©tĂ© qui aimerait les façonner de telle maniĂšre Ă  ce quelles entrent dans un moule bien dĂ©fini. Un des combats est celui de s’émanciper du culte du corps et d’accepter son physique tel qu’il est. Des mouvements luttent contre les stĂ©rĂ©otypes dans lesquels les mĂ©dias voudraient enfermer les femmes. Un des plus actifs est le body positive. Il lutte en faveur de l’acceptation et de l’apprĂ©ciation de tous types de corps humains », selon la dĂ©finition sur WikipĂ©dia. En 2018, France Info informe que l’hashtag body positive Ă©tait un des plus populaires sur les rĂ©seaux. Les femmes ne veulent plus ĂȘtre esclaves des canons de la beautĂ© dictĂ©s par les mĂ©dias. Certaines cĂ©lĂ©britĂ©s n’ont pas hĂ©sitĂ© Ă  poster leur body positive » sur leur page Instagram tel que le mannequin over seize Ashley Graham, ou l’influenceuse Juju Fitcats avec son post illustrĂ© d’une photo oĂč elle rend visible son ventre recouvert de duvet. Une solidaritĂ© entre les femmes de tous milieux se forme pour dĂ©noncer les tricheries, notamment des photos retouchĂ©es, afin de dĂ©voiler des corps trop parfaits. Juju Fitcats, Ă©crit 
vous croyez quoi ? Que la beautĂ© rĂ©side dans le fait d’ĂȘtre parfait ? Il serait temps de se rĂ©veiller, le corps parfait n’existera jamais
 ». Un autre combat est celui de se sentir approuvĂ©, visible, avec de la valeur. Le tĂ©moignage de Matatea Changuy, entrepreneuse sociale, coach et consultante originaire de Tahiti, est poignant. Il dĂ©crit une jeune femme blessĂ©e par la vie, et qui a su rebondir. Son mot d’ordre pourquoi pas ? » l’a amenĂ©e Ă  s’émanciper de sa famille, Ă  accepter son passĂ©. Elle revendique que le fait de ce qui lui est arrivĂ© petite fille n’est pas de sa faute, mais que le futur est de sa responsabilitĂ©. Cette pensĂ©e est confortĂ©e par JĂ©rĂŽme Mataneel qui a expliquĂ© lors d’un de ses sĂ©minaires quand on parle d’acceptation, on ne parle pas de rĂ©signation ». S’accepter ; c’est de ne pas se laisser influencer par la pensĂ©e commune, de ne pas aller Ă  l’encontre de ce que l’on est, de ne pas cĂ©der Ă  la pression sociale et enfin, de ne pas prĂȘter attention aux regards des autres attendant leurs approbations.
\n\n\n \n s accepter tel que l on est
Root321 des fois c'est difficile d'accepter tel qu'on es 😕đŸ„ș. Il y a 1 j. 9. RĂ©pondre. Voir plus de rĂ©ponses (2) mikaeltupou. Quand marcher seul est devenu ton quotidien, alors tu finis par rĂ©aliser, que tout le monde te voit comme le mĂ©chant et eux c'est les gentils Il y a 1 j.
Une fois de plus, abordons une mĂ©thode simple pour augmenter l’estime de soi. AprĂšs avoir lu cet article, vous pourrez commencer Ă  l’appliquer tout de suite. Nous allons aussi aborder l’aspect neurologique des choses. J’aime aborder cette dimension de l’estime de soi qui consiste Ă  s’accepter tel que l’on est, soi, tout simplement. Vous accepter avec vos pensĂ©es, vos Ă©motions, vos sensations. Ça vous dit ? Oui mais quel est le but ? Ne risque t-on pas d’attraper la grosse tĂȘte ? », me direz-vous. L’intĂ©rĂȘt d’amĂ©liorer l’estime de soi rĂ©side dans le fait que mieux on se sent avec soi-mĂȘme, moins on se met la pression du coup, paradoxalement on peut accomplir plus de choses et mieux on s’entend avec les autres. En effet, on approche les autres de maniĂšre plus relax, plus sereine. Bien entendu l’estime de soi peut fluctuer. Avoir une bonne estime de soi signifie qu’elle devient plus stable et que l’on gĂšre ses fluctuations en Ă©tant en paix avec soi-mĂȘme. Acceptation radicale de soi D’aprĂšs Tara Brach, notre non-apprĂ©ciation de nous-mĂȘme est Ă  la base de la plus part de nos problĂšmes relationnels. J’aime beaucoup le travail de cette spĂ©cialiste de la mĂ©ditation et de l’estime de soi. Ses conseils sont concrets et peuvent ĂȘtre suivis pas Ă  pas. Certains des exercices que je pratique avec mes patients s’inspirent de sa mĂ©thode, dĂ©taillĂ©e entre autres dans son livre sur l’acceptation radicale de soi 1. Selon Tara Brach, l’acceptation radicale de soi-mĂȘme, c’est ĂȘtre prĂȘt Ă  faire l’expĂ©rience d’ĂȘtre soi, tel que l’on est. Mais aussi accepter sa vie, telle qu’elle est. Ça sonne bien non ? Mais comment faire pour s’accepter soi-mĂȘme et accepter sa vie ? La critique de soi Lorsque nous nous critiquons et nous jugeons nous-mĂȘme, nous nous coupons des autres. D’un point de vue neurologique, il est impossible de se critiquer et se juger soi-mĂȘme et d’ĂȘtre Ă  la fois en train de s’ouvrir aux autres. Une de mes patientes, jeune femme fort isolĂ©e, m’a un jour confiĂ© Quand je suis avec les autres, je n’ai rien Ă  dire, je pense que je ne suis pas assez intĂ©ressante ». Son raisonnement pourrait se rĂ©sumer comme ceci Si je me montre sous mon vrai jour, les autres vont voir Ă  quel point je suis vide, voire mauvaise. La critique des autres Un autre patient, cadre stressĂ© et insomniaque, affirmait quant Ă  lui faire de son mieux dans tout ses rapports avec sa femme et ses enfants, avec ses collĂšgues, ses collaborateurs et mĂȘme ses parents. Personne ne semblait lui rendre l’affection qu’il Ă©tait sĂ»r de donner. Il se sentait rejetĂ© par ses enfants, dĂ©laissĂ© par sa femme, mal aimĂ© par sa famille, incompris dans ses rapports professionnels. AprĂšs quelques rendez-vous, il a compris ceci les autres ne percevaient peut-ĂȘtre pas ses preuves d’amour comme telles. De plus sa peur d’ĂȘtre mal aimĂ© l’empĂȘchait d’écouter son dialogue intĂ©rieur, rempli de messages critiques Ă  propos de lui-mĂȘme, ce dialogue se rĂ©pĂ©tait malgrĂ© lui. Il a alors appris Ă  Ă©couter ce dialogue. Voyons pourquoi le faire et comment s’y prendre. Pourquoi nous critiquons ? Lorsque nous critiquons les autres, nous projetons quelque chose de nous en eux. Il peut s’agir d’une part de soi que l’on n’accepte pas, ou justement envers laquelle nous sommes trop indulgent. Nous critiquons parce que nous nous cachons des choses Ă  nous-mĂȘme. Il s’agit souvent de nos propres insĂ©curitĂ©s. Par contre lorsque nous ressentons une attitude positive envers quelqu’un, sans jugement, sans mĂ©pris, nous nous sentons aussi mieux avec nous-mĂȘme. Deux processus neurologiques Les jugements sĂ©vĂšres Ă  propos de soi ou des autres, tout comme la haine de soi, activent une partie primitive du cerveau. Le cerveau reptilien est celui que nous avons hĂ©ritĂ© de nos ancĂȘtres trĂšs lointains. Il est activĂ© lorsque, tel un animal dans la jungle, nous ressentons une menace et nous prĂ©parons Ă  nous battre ou nous enfuir devant des prĂ©dateurs affamĂ©s. Les attitudes positives telles que l’empathie, la compassion, ou le fait de raisonner et communiquer Ă  propos de nos Ă©motions ont un impact neurologique tout Ă  fait diffĂ©rent. Elles activent des parties du cerveau plus rĂ©cemment Ă©voluĂ©es le neurocortex et les circuits de la raison. Ces circuits sont capables de diminuer l’activitĂ© du cerveau reptilien perception de menace et du cerveau lymbique celui des Ă©motions. C’est comme s’ils Ă©taient capables de calmer l’animal blessĂ© en soi. Être gentil avec soi et les autres est une forme d’intelligence avancĂ©e puisqu’elle nous fait sortir du mode jungle/menace » pour raisonner en termes empathiques. Et vous ? Que cachez-vous Ă  propos de vous? Cette question permet de mettre en lumiĂšre ces zones d’ombre qui Ă©rodent votre relation Ă  vous-mĂȘme et Ă  l’autre. En les dĂ©couvrant et en les traitant avec gentillesse, vous pourriez devenir un ami meilleur pour vous-mĂȘme et pour les autres. Certains veulent cacher leur manque de culture gĂ©nĂ©rale, d’autres leur poids, leur dĂ©sordre ou leur humeur. La jeune femme mentionnĂ©e plus haut se sent inadĂ©quate et le cache. Le monsieur mal aimĂ© ne voit pas cette partie de lui qui le juge et le critique. Une fois identifiĂ©es, ces tares » peuvent devenir des tremplins vers l’acceptation et l’amour de soi. En appliquant cette mĂ©thode, vous allez aussi devenir plus entier dans votre relation aux autres. Trois Ă©tapes pour activer l’ami en soi 1. Apprendre Ă  observer vos propres pensĂ©es ArrĂȘtez un instant ce que vous faites, peu importe l’heure. Ecoutez vos pensĂ©es, remarquez comment elles apparaissent et observez comme elles se rĂ©pĂštent. Etes-vous pris dans des pensĂ©es rĂ©pĂ©titives ou nĂ©gatives ? Apprenez que vous n’ĂȘtes pas vos pensĂ©es. Elles passent en vous mais elles ne vous dĂ©finissent pas. Apprenez Ă  redevenir centrĂ©. Par exemple en Ă©coutant votre respiration. 2. Observez vos sensations en pleine conscience MĂȘme si vous ne croyez pas vos pensĂ©es intellectuellement, peut-ĂȘtre continuez vous Ă  sentir que quelque chose ne va pas au niveau de vos Ă©motions. Or les sensations physiques provoquĂ©es par vos Ă©motions sont lĂ , que vous le vouliez ou non. Apprenez Ă  leur permettre d’ĂȘtre, tout simplement. Elles ne vous dĂ©finissent pas, elles non plus. Tout comme les vagues de l’ocĂ©an ne dĂ©finissent pas l’ocĂ©an dans son entiĂšretĂ©. Vous pouvez citer les sensations qui surgissent, les nommer Ă  voix haute ou mĂȘme les Ă©crire. Raisonner sur vos sensations et vos Ă©motions va activer cette partie plus rĂ©cente de votre cerveau et calmer les Ă©motions et la sensation de menace Tara Brach propose de dire par exemple Je me juge, j’ai honte. J’observe les sentiments et Ă©motions derriĂšre ces pensĂ©es. Je respire avec ça. Ça ne me dĂ©finit pas. Ça bouge en moi. Je laisse bouger. » 3. S’offrir un geste gentil et aimant Pour clĂŽturer, offrez-vous de la gentillesse. Voici quelques exemples de maniĂšres de le faire placez la main sur votre cƓur prononcez ou Ă©crivez des mots gentils et rĂ©confortants imaginez un bĂ©bĂ© bercĂ© par sa maman aimante imaginez les vagues bercĂ©es par l’ocĂ©an ou une autre idĂ©e qui vous vient et vous inspire du calme et de la bienveillance Il se pourrait qu’au dĂ©but vous fassiez ceci de maniĂšre un peu distante ou froide parce vous n’avez pas l’habitude de vous offrir cette bienveillance. De plus le juge en vous risque de venir pointer son nez, lĂ  aussi et dire des choses comme c’est quoi ce truc de bisounours ? » . Puis vous allez dĂ©velopper une meilleure capacitĂ© Ă  prendre soin par vous-mĂȘme de cette partie de vous qui, comme un enfant, rĂ©clame votre amour pour soigner ses bobos. 2 Un nouveau chemin, de plus en plus facile Ă  emprunter Nous revenons bien sĂ»r facilement Ă  nos vieux fonctionnements jugements, critiques, etc.. Ils sont liĂ©s Ă  des chemins neuronaux qui sont cĂąblĂ©s depuis longtemps. Pas facile de changer un circuit si souvent activĂ©. Pourtant, j’ai vu en moi et en mes patients qu’en rĂ©pĂ©tant ces 3 Ă©tapes mĂ©ditatives des centaines de fois, le nouveau chemin devient plus accessible. Vous aussi, vous pouvez commencer Ă  prendre ce chemin. Vous verrez qu’avec le temps, il devient plus accessible, plus rapide d’accĂšs. Le chemin du juge sĂ©vĂšre est remplacĂ©, petit Ă  petit, par celui d’ douce en soi, N’importe qui peut suivre ces Ă©tapes. Commencez Ă  la pratiquer dĂšs aujourd’hui ! Tara Brach dit Si je rĂ©siste les mouvements en moi, mes conflits intĂ©rieurs empoisonnent mes relations aux autres. Si je nomme mes peurs et m’ouvre Ă  les sentir, je sens une perte. Une perte de connexion aux autres. Ça fait mal. J’observe que ceci est de la souffrance. Quand je prends conscience de cette vrai souffrance, je suis prĂȘte Ă  ressentir de la vrai compassion. » Vous ĂȘtes capable d’amĂ©liorer votre relation Ă  vous-mĂȘme. Et en vous acceptant vous-mĂȘme, vous devenez capable d’accepter aussi les autres. DĂšs maintenant Alors que vous finissez la lecture de cet article, placez votre main sur votre cƓur avec douceur, comme vous placeriez votre main sur l’épaule d’un ami que vous souhaitez accompagner. Vous noterez peut-ĂȘtre des pensĂ©es et des Ă©motions particuliĂšres. Certaines seront peut-ĂȘtre plus agrĂ©ables que d’autres, plus difficiles Ă  accepter. Prendre rendez-vous Si vous voulez aller plus loin, si vous voulez ĂȘtre accompagnĂ© pour observer vos pensĂ©es, trouver des moyens de vous recentrer, apprendre Ă  Ă©couter vos Ă©motions et vos sensations, si vous voulez recommencer Ă  ĂȘtre gentil avec vous-mĂȘme et que vous avez besoin d’aide, contactez-moi ! Je me ferai un plaisir de vous accompagner pour vous aider Ă  devenir votre meilleur ami. Je vous offre un rendez-vous tĂ©lĂ©phonique de 45 minutes. Cliquez ici vous devrez d’abord rĂ©pondre Ă  un petit questionnaire-filtre avant d’avoir accĂšs Ă  mon agenda. Un autre moyen d’avancer est de suivre ma mĂ©thode Être Son Meilleur Ami » grĂące Ă  un programme en ligne. Vous verrez qu’il couvre tous les aspects de l’estime de soi, de l’acceptation du dialogue interne Ă  la pratique de la compassion, en passant par la prise de dĂ©cision et l’accomplissement de vos projets. Je vous en parle Ă©galement lors d’un rendez-vous tĂ©lĂ©phonique, que vous pouvez prendre en cliquant ici. Lire aussi Je n’arrive pas Ă  penser positif quand tout va mal De la confiance en soi Ă  la compassion Bibliographie 1 Tara Brach. Radical Acceptance – Embracing Your Life With the Heart of a Buddha, Batam Book, 2003 2 Les trois Ă©tapes dĂ©crites ici sont inspirĂ©es du travail de Tara Brach ainsi que de mon modĂšle sur l’estime de soi et la confiance en soi. Comments
S’accepter comme on est » ne veut pas dire qu’elles disparaĂźtront. Une piste, peut-ĂȘtre, pour avancer nĂ©anmoins dans cette direction : nous avons
Coucou la compagnie ! C’est drĂŽle de constater Ă  quel point il est facile d’accepter certains aspects de nous-mĂȘmes
 et d’autres beaucoup moins. Par exemple, j’ai appris Ă  accepter de vivre avec un cancer au stade 4 tout en Ă©tant toujours aussi dĂ©terminĂ©e Ă  prendre bien soin de moi. Mais j’ai toujours autant de mal Ă  accepter mes rides ou ma mauvaise humeur
 mĂȘme quand c’est cette mauvaise humeur qui me rappelle que je dois continuer Ă  me bagarrer. Pas plus tard que l’autre jour, j’étais assise au coin du feu. Et je me sentais vraiment
bidon. Je repensais Ă  toutes ces choses trĂšs sages que j’avais prononcĂ©es lors des SuperSoul Sessions avec Oprah Winfrey. J’avais dissertĂ© sur le fait que s’accepter tel que l’on est ne veut pas dire renoncer Ă  nos ambitions. Que cela signifie simplement ĂȘtre pleinement conscient de notre valeur intrinsĂšque et s’aimer, Ă  tout prix. Peu importe le scĂ©nario de notre vie et ses choix de casting douteux. Qu’il ne faut jamais se perdre de vue, en particulier quand ça va mal. S’accepter ne veut pas dire renoncer Ă  Ă©voluer, mais plutĂŽt considĂ©rer que l’on est un verre Ă  moitiĂ© plein plutĂŽt qu’à moitiĂ© vide. L’acceptation de soi, ce n’est pas s’endormir sur ses lauriers, c’est reconnaĂźtre sa force, mĂȘme quand on est Ă  bout
de force. Mais revenons Ă  nos moutons assis au coin du feu. Petite voix intĂ©rieure Dis, pour quelqu’un qui claironne Ă  tout bout de champ qu’il faut s’accepter tel qu’on est, comment se fait-il que t’es toujours en train de te prendre la tĂȘte pour ĂȘtre mieux, toi ? Y en a marre ! Et si tu commençais par t’accepter toi, vraiment ? Genre, toi, Ă  100% et que tu foutes un peu la paix ! J’vais t’dire une bonne chose, Kris on pourrait comme ça VRAIMENT profiter de 2017. Sans dĂ©c. » Bon, bon, bon. La petite voix intĂ©rieure s’est faite entendre. Vous n’aimez pas, vous, quand votre Ăąme se met Ă  vous dire les choses en face ? Moi, personnellement, j’adore. MĂȘme quand c’est un peu raide Ă  encaisser. Je ne me rendais pas compte Ă  quel point j’étais ch
ante avec moi-mĂȘme ! En fait, le truc, c’est que l’on ne peut pas ĂȘtre tout le temps au top de nous-mĂȘmes. On est humain, plein de dĂ©fauts. Et la vie, c’est notre petit laboratoire d’expĂ©rimentation spirituelle. La vie, oui. Dans tout ce qu’elle a de tragique, magique, fugace, incohĂ©rent
 Ca serait peut-ĂȘtre une bonne idĂ©e d’arrĂȘter de nous contorsionner dans tous les sens pour essayer de rentrer Ă  tout prix dans nos petites cases carrĂ©es prĂ©dĂ©finies
 On souffle un peu
 et on se dĂ©tend. Et si on arrĂȘtait de vouloir constamment devenir nous, en mieux ? Si on essayait juste de devenir nous-mĂȘmes, pour voir ? Ok, on continue Ă  siroter notre smoothie vert mais sans se mettre une telle pression qu’on en oublie d’en profiter . On continue Ă  chercher mais sans oublier tout ce qu’on a dĂ©jĂ  trouvĂ© en nous. Pendant que je me disais tout ça, j’ai senti mes Ă©paules s’affaisser lĂ©gĂšrement. Comme c’était bon de ne plus m’avoir sans arrĂȘt sur le dos ! La vie serait quand mĂȘme drĂŽlement plus douce si on pouvait s’accepter et accepter les autres, au passage davantage plutĂŽt que de rejeter des aspects de ce qui nous constitue au nom de cette quĂȘte du mieux
 En plus, mes trĂ©sors, quand on sait honnĂȘtement oĂč on en est avec nous-mĂȘmes, Ă  l’instant T, et tant pis si c’est vraiment pas le T du mot top c’est quand mĂȘme plus facile de se mettre en route vers des lendemains qui chantent
 Tandis qu’on trottine gentiment vers la nouvelle annĂ©e, voici quelques pensĂ©es sur l’acceptation. Ca vaut peut-ĂȘtre le coup d’y jeter un Ɠil. Ou pas, d’ailleurs ; c’est vous qui dĂ©cidez. Acceptez d’ĂȘtre dans l’imperfection. Pas la peine d’avoir honte de vous pour autant. Acceptez de ne pas aimer tout le monde. Pas la peine d’ĂȘtre cruel pour autant. Acceptez que l’aiguille de votre balance oscille parfois d’un cĂŽtĂ© ou de l’autre. Mais n’acceptez jamais que l’aiguille de votre compteur d’estime personnelle bouge d’un iota. Acceptez la colĂšre mais assumez vos actes si vous la dirigez Ă  mauvais escient. Acceptez de pardonner. Mais n’oubliez pas. Ca s’appelle l’instinct de survie. Acceptez vos erreurs Ă  venir. Si on n’en fait pas, on arrĂȘte d’évoluer. Acceptez de ne pas ĂȘtre disponible Ă  100% tout le temps sauf si vous ĂȘtes Mathieu Ricard. Mais rappelez vous que le moment prĂ©sent, lui, est toujours disponible. Acceptez de vous allĂ©ger de vos boulets. Avoir des boulets ne veut pas dire que vous en ĂȘtes un ! Acceptez de ne pas plaire Ă  tout le monde. Les autres vous votre vie. Ceux qui jugent sont gĂ©nĂ©ralement ceux qui manquent le plus cruellement de confiance en eux. Acceptez les bons conseils. Mais gardez en tĂȘte que votre propre opinion sur votre propre vie, c’est bien lĂ  l’avis qui compte le plus. Acceptez l’idĂ©e de ne pas vivre Ă©ternellement. La vie peut ĂȘtre bien plus courte que ce que vous vous imaginez. Alors vivez plus. DĂšs Ă  prĂ©sent. Attendre ? C’est une perte de temps, mes loulous. Bon sang, ça fait du bien ! Je remercie au passage mon petit journal intime pour sa patience indĂ©fectible Ă  mon Ă©gard, lui qui encaisse sans broncher mes Ă©tats d’ñme. Cahier Moleskine, merci Ă  toi ! T’es le meilleur ! Alors, prĂȘts Ă  s’accepter un peu plus Ă  partir de maintenant ? N’hĂ©sitez pas Ă  ajouter d’autres Ă©lĂ©ments Ă  cette liste, je serais ravie de lire vos pensĂ©es sur ce sujet. Je vous souhaite de super vacances de NoĂ«l vous les mĂ©ritez bien ! Vous avez encore bossĂ© comme des dingues cette annĂ©e ! Que 2017 soit rempli de choses positives et agrĂ©ables
 Kris Carr A lire Traduit de l’anglais par Geraldine Guillier en exclusivitĂ© pour le Journal des Bonnes Nouvelles. GĂ©raldine exerce la profession de professeur d’anglais depuis seize ans. C’est une couverture car en rĂ©alitĂ©, elle est passionnĂ©e de mots, français et anglais. Elle en lit, en Ă©crit, en traduit et passe une grande partie de son temps Ă  essayer de les faire swinguer Ă  l’aide de son stylo. Elle devrait ĂȘtre depuis longtemps interdite de brocante et de vide greniers comme Elle aime avoir les mains dans l’essence de tĂ©rĂ©benthine, les gravures de mode des annĂ©es 20, les cheveux de son fils ou les poils de sa chienne et de son chat. MA CONTRIBUTION AU JDBN Je suis trĂšs fiĂšre d’apporter par la traduction un coup de main au JDBN, qui a le courage de nous montrer l’existence par le versant ensoleillĂ©. C’est une belle et Ă©lĂ©gante dĂ©marche. Ce n’est pas parce que la vie n’est pas Ă©lĂ©gante qu’il faut se conduire comme elle». Retrouvez tous les bons plans et coups de coeur du JDBN dans la boutique!
Nousavons tous des moments oĂč nous ne nous sentons pas Ă  la hauteur. Ces moments peuvent ĂȘtre dĂ©clenchĂ©s par un Ă©vĂ©nement prĂ©cis ou bien par une accumulation de petites choses qui nous font douter de nous-mĂȘmes. Quoi qu’il en soit, il est important de trouver des techniques pour retrouver confiance en soi et ne pas laisser ces moments de doute
Dans cette sociĂ©tĂ© oĂč tout est jugĂ©, l'apparence, les opinions, les choix, les diffĂ©rences... Le poids est un sujet qu'il est encore plus. Dans cette sociĂ©tĂ© oĂč les femmes doivent toutes se ressembler et oĂč il existe un idĂ©al... Être trop mince ça dĂ©range. J'ai toujours Ă©tĂ© trĂšs mince, voir maigre Ă©tant petite. Et j'en ai toujours souffert. J'en souffre encore. Quand tu es enfant, ça passe, les gens n'en font pas toute une histoire. Quand tu entres dans l'adolescence, lĂ  ça commence Ă  faire parler... "T'es anorexique ?" "Manges un peu !" "Sac d'os" "On dirait une gamine" "Sale maigre"... Je pourrais continuer encore longtemps. C'est ce que j'entendais environ une fois par jour. Chaque jour, c'Ă©tait le mĂȘme supplice. J'avais le droit Ă  ces propos Ă  l'Ă©cole, par mes proches, mes amis, des inconnus. Chaque jour, mon obsession devenait de pire en pire. Car oui, j'en ai fait une obsession. A force d’entendre parler de mon poids Ă  chaque conversation, c'est devenu une obsession. "Manger plus, grossir, ne pas Ă©couter les autres, grossir, se crĂ©er une barriĂšre pour ne plus ĂȘtre blessĂ©e, ne pas pleurer..." Mon rituel chaque matin lorsque je devais m'habiller, Ă©tait de me regarder sous toutes les coutures en me disant "Mon dieu, t'es vraiment horrible. T'es trop maigre". Je ne m'aimais pas. En fait je ne m'aimais plus, Ă  cause des autres. Je me dĂ©testais et je me rabaissais moi-mĂȘme chaque jour. A force je ne me voyais plus comme "Amandine", je me voyais plutĂŽt comme "la fille maigre". Je ne voyais plus ce que j'aimais chez moi, je voyais seulement ce que je dĂ©testais. J'ai fini par me dĂ©tester entiĂšrement. Et si j'Ă©tais atteinte d'une maladie ? Et si leurs propos me blessaient ? Et s'ils me faisaient du mal ? Je me demande si toutes ces personnes qui se permettaient de me juger se sont dĂ©jĂ  posĂ© ne serait-ce qu'une seule de ces questions. Alors un jour, ça a Ă©tĂ© la goutte d'eau. La rĂ©flexion de trop. J'ai pleurĂ© tout ce que je gardais en moi depuis mon enfance, et j'ai dĂ©cidĂ© de m'aimer. Telle que je suis. Avec mes dĂ©fauts. Avec mon poids, mon nez trop long, mes petites cernes, mes vergetures. AprĂšs tout, pourquoi nous devrions ĂȘtre comme tout le monde ? Pourquoi devrions-nous tous se ressembler ? Qui a dĂ©cidĂ© qu'il y avait un idĂ©al ? Un corps parfait, pas trop grosse, pas trop maigre, de la poitrine mais pas trop, des fesses mais pas un "gros cul", pas de cellulite ni de vergetures... Cela n'existe pas. Mon corps, c'est mon moyen de locomotion sur cette Terre. C'est grĂące Ă  lui que je peux vivre, marcher, nager, rigoler... C'est le mien, pas celui des autres. C'est moi. Il me ressemble, il est ma personnalitĂ©, mon enveloppe physique. Alors pourquoi les autres m'empĂȘcheraient de l'aimer ? Certes, j'ai encore du boulot, mais j'en aurai toute ma vie. Le corps change, il peut connaĂźtre la grossesse, les Ă©preuves, le temps. Mais si je l'accepte tel qu'il est, je suis prĂȘte Ă  le faire pour toujours. Tant pis s'il change, je ferais tout pour ĂȘtre bien. Je m'engage Ă  manger sainement, Ă  faire du sport, Ă  prendre soin de mon esprit. Et Ă  accepter le changement. Personne ne peut le faire Ă  ma place. Et puis si les autres ne l'acceptent pas, si je ne leur plais pas, c'est leur problĂšme, pas le mien. J'ai remarquĂ© que les personnes qui se permettent de juger les autres, sont celles qui ne s'aiment pas elles-mĂȘme. Si elles jugent notre apparence, c'est qu'elles jugent la leur. "Une personne qui ne s'aime pas pourra difficilement aimer les autres." Alors, pour devenir la personne que nous rĂȘvons d'ĂȘtre, avec le corps parfait dont nous rĂȘvons, la premiĂšre Ă©tape est de s'accepter tel que l'on est, d'aimer ce que l'on est, et d'effacer la mauvaise image que nous avons de notre physique. Et si vous ĂȘtes bien dans votre peau, que vous soyez fort, mince, petit ou grand, les autres le sentiront et ils ne pourront que vous trouver resplendissant, car vous dĂ©gagerez le bien-ĂȘtre et la confiance en vous. Chaque dĂ©tail, chaque dĂ©faut, fait de nous ce que nous sommes et c'est ce qui nous rend unique ! Amour, Ce que je porte
StreamCOMMENT S’ACCEPTER TEL QUE L’ON EST ? (Je casse les mythes et rĂ©tablis la vĂ©ritĂ©) by ÊTRE LIBRE : Vanessa Inconditionnel on desktop and mobile. Play over 265 million tracks for free on SoundCloud.
Caroline Lachowsky reçoit Alexandre Jollien pour tenter de rĂ©pondre Ă  la question Comment s’accepter tel que l’on est ? » On se dit parfois que telle chose ne va pas chez nous, qu’on aimerait mieux ĂȘtre comme ci ou comme ça, plus beau, plus grand, moins gros, plus intelligent
 L’essor de la chirurgie esthĂ©tique, les modĂšles retouchĂ©s des magazines nous incitent Ă  croire que l’on pourrait sans cesse ĂȘtre mieux. Mais savons-nous vĂ©ritablement profiter du prĂ©sent ? N’est-il pas temps d’abandonner des attentes illusoires pour mieux se confronter Ă  la rĂ©alitĂ© ? Pour nous aiguiller sur cette piste, nous recevons Alexandre Jollien, philosophe, auteur de Le philosophe nu », paru en 2010 aux Ă©ditions du Seuil.→ le site d'alexandre jollien
Saccepter tel que l'on est est le premier pas de la dĂ©couverte de soi. Il s'agit de cesser d'agir par manque d'amour envers nous-mĂȘmes. ⁣ ⁣ Plus CorrĂšze. La photo pour s'accepter tel que l'on est. Samuel GĂ©raudie est passionnĂ© de photo depuis toujours. Il a dĂ©cidĂ© de mettre sa passion au service des autres pour qu'ils se sentent mieux en proposant des sĂ©ances de photographie thĂ©rapeutique. Vers l'Ăąge de 10 ans, il a voulu fabriquer l'objet de ses rĂȘves. MĂȘme s'il Ă©tait un peu bancal, il possĂ©dait enfin son premier appareil photo. J'avais dĂ©coupĂ© la forme d'un appareil dans une boĂźte Ă  chaussures. Un trou pour la visĂ©e, un trou pour imiter l'objectif et je jouais avec. Voyant combien cet objet me passionnait, mes parents m'ont donnĂ© le leur. Ce n'Ă©tait plus fictif, je pouvais faire mes 1res photos. » Une activitĂ© complĂ©mentaire CorrĂšze. La photo pour s'accepter tel que l'on est. Samuel GĂ©raudie ne savait pas encore que cette passion allait le suivre tout au long de sa vie. Ah, j'en ai fait dĂ©velopper des photos ! Je faisais des clichĂ©s, pour le plaisir. À 30 ans, j'ai eu mon premier appareil numĂ©rique et je me suis consacrĂ© Ă  la photo encore plus sĂ©rieusement. En 2014, j'ai achetĂ© mon premier reflex, le Saint Graal qui me donne envie d'aller toujours plus loin. La photo est un antidĂ©presseur, une Ă©chappatoire aux soucis quotidiens. J'aime donner du plaisir aux gens autant que j'en prends. J'aime transmettre ce que je dĂ©couvre. » Samuel a créé sa sociĂ©tĂ© en 2020 pour couvrir des Ă©vĂšnements. Il s'est vu confier les books de modĂšles Miss Rondes. Aujourd'hui il rajoute une corde Ă  son arc la photographie thĂ©rapeutique, une mĂ©thode qui a pour but de rĂ©parer l'estime de soi, de se rĂ©concilier avec son image, et de s'accepter tel que l'on est. J'ai rĂ©ussi Ă  aider des personnes avec de simples shootings. C'est en voyant le bien que ça faisait aux modĂšles que j'ai voulu aller plus loin. » Il suit actuellement une formation mais son studio est prĂȘt. Actuellement il exerce la photographie thĂ©rapeutique comme une activitĂ© complĂ©mentaire, il espĂšre pouvoir en faire son activitĂ© principale. Contact. Lins'temps photos, Samuel GĂ©raudie, tĂ©l. ou ou https \\
Retrouverconfiance en soi, apprendre Ă  s’accepter tel que l’on est. Je ne vais pas vous mentir, ce n’est pas une chose aisĂ©e que de s’accepter tel que l’on est Il faut se faire violence pour accepter d’en finir avec cette quĂȘte,
TĂ©lĂ©charger l'article TĂ©lĂ©charger l'article L'acceptation de soi est l'un des plus grands dĂ©fis que l'on rencontre dans la vie. Bien que ce soit difficile, ĂȘtre en paix avec soi-mĂȘme est sans doute l'une des Ă©tapes les plus importantes pour atteindre le bonheur. Quelles que soient les cartes que vous avez en main, il est possible d'apprendre Ă  vous accepter et Ă  vous apprĂ©cier. 1Soyez votre propre meilleur ami. Il arrive souvent que l'on soit plus exigeant envers soi-mĂȘme qu'envers les autres. Essayez au contraire de vous traiter de la façon dont vous traiteriez un ami proche. Ne dites rien sur vous-mĂȘme aussi bien Ă  voix haute que dans votre tĂȘte que vous ne diriez pas de quelqu'un que vous aimez [1] . 2 CĂ©lĂ©brez vos points forts. Des Ă©tudes scientifiques ont dĂ©montrĂ© que le fait de se concentrer sur ses points forts et de les dĂ©velopper permet de vivre une vie plus Ă©panouissante [2] . Notez sur une feuille de papier trois de vos points forts. Ils peuvent ĂȘtre trĂšs spĂ©cifiques ou au contraire plus gĂ©nĂ©raux, comme Je suis bon aux Ă©checs » ou Je suis courageuse. » Essayez d'inclure au moins un point fort gĂ©nĂ©ral et un point fort spĂ©cifique dans votre liste. Prenez le temps d'apprĂ©cier ces qualitĂ©s. Dites Ă  voix haute J'aime le fait d'ĂȘtre courageuse. » RĂ©flĂ©chissez Ă  la façon de dĂ©velopper ces talents. Si vous ĂȘtes bon aux Ă©checs, pourquoi ne pas vous inscrire Ă  un tournoi ? Si vous ĂȘtes courageuse, pourquoi ne pas vous essayer au rafting ? 3 Pardonnez-vous. Si vous n'apprĂ©ciez pas d'ĂȘtre qui vous ĂȘtes, il est possible que vous ayez un problĂšme de culpabilitĂ©. Il n'est pas facile de se pardonner soi-mĂȘme, mais cela peut apporter une vraie transformation. Vous pouvez essayer d'accomplir un rituel de libĂ©ration pour tenter de vous pardonner [3] . Confessez votre secret dans une lettre. DĂ©crivez en dĂ©tail tout ce dont vous vous sentez coupable. DĂ©truisez la lettre. Vous pouvez par exemple la bruler ou bien la jeter dans l'ocĂ©an. Dites-vous que vous laissez votre culpabilitĂ© dans le passĂ©. RĂ©pĂ©tez ce rituel autant de fois que vous en ressentez le besoin. 4 Soyez bon envers vous-mĂȘme. De nombreuses personnes ont intĂ©riorisĂ© l'idĂ©e qu'il est Ă©goĂŻste de s'occuper de soi. En rĂ©alitĂ©, prendre soin de soi est l'une des choses les plus responsables que vous puissiez faire [4] . En vous occupant de vos propres besoins, vous commencerez Ă  vous en sentir digne, ce qui vous aidera Ă  vous sentir bien dans votre peau. Voici quelques idĂ©es pour prendre soin de vous. DĂ©finissez des moments durant lesquels vous ne travaillez pas. Accordez-vous durant ces moments le droit de vous dĂ©tendre. Faites de l'exercice. Envoyez les endorphines ! Prenez le temps de vous remercier lorsque vous arrivez Ă  la salle de sport. Dormez suffisamment. Le sommeil est un besoin essentiel qu'il ne faut pas sacrifier. En dormant suffisamment, vous resterez plus facilement fort, Ă©motionnellement et physiquement. 5 Faites une affirmation. Une affirmation est une dĂ©claration simple et positive vous concernant, au prĂ©sent de l'indicatif [5] . RĂ©flĂ©chissez Ă  une affirmation et notez-la Ă  la craie sur une ardoise ou bien sur le miroir de votre salle de bain. Lisez-la Ă  voix haute le matin dĂšs le saut du lit, puis chaque fois que vous entrez Ă  nouveau dans cette piĂšce. C'est tout Ă  fait normal de se sentir un peu idiot au dĂ©but ! Cela passera avec le temps, ce qui vous aidera Ă  mieux vous accepter. Vous pouvez par exemple affirmer j'Ă©cris bien, je suis quelqu'un de fort, je t'aime votre prĂ©nom. PublicitĂ© 1 DĂ©couvrez vos prĂ©fĂ©rences spĂ©cifiques. C'est le fait d'ĂȘtre unique qui peut rendre chacun intĂ©ressant, attirant ou confiant. Commencez votre voyage vers l'acceptation de vous en dressant la liste de tout ce que vous aimez. Essayez de ne pas vous laisser influencer par l'opinion des autres pour Ă©crire cette liste [6] . Quel genre de musique apprĂ©ciez-vous ? Quels sont vos aliments prĂ©fĂ©rĂ©s ? Quelle est votre couleur prĂ©fĂ©rĂ©e ? Comment aimez-vous vous habiller ? 2 DĂ©veloppez votre style. Pour apprĂ©cier le fait d'ĂȘtre vous-mĂȘme, dĂ©veloppez votre style personnel et cultivez ce qui vous rend unique. À l'aide de la liste de prĂ©fĂ©rences que vous avez dressĂ©e, passez Ă  l'action [7] . Assemblez une tenue vestimentaire inspirĂ©e d'un look repĂ©rĂ© dans un magazine. TĂ©lĂ©chargez le dernier album d'un artiste que vous aimez. Commandez de la nourriture auprĂšs de votre restaurant prĂ©fĂ©rĂ©. Essayez de faire chaque jour quelque chose qui soit totalement vous. 3 Élargissez votre horizon. Il est probable que vous n'ayez expĂ©rimentĂ© qu'une toute petite fraction de tout ce que la vie peut offrir. Trouvez de nouvelles choses que vous aimerez et de nouvelles façons d'exprimer votre personnalitĂ© [8] . Visitez un endroit inconnu. Essayez un nouveau style vestimentaire ou bien Ă©coutez un nouveau genre musical. Essayez quelque chose de nouveau chaque semaine. 4 Exprimez-vous. En dĂ©veloppant votre crĂ©ativitĂ©, vous vous rapprocherez de votre vĂ©ritable personnalitĂ©. Lorsque l'on trouve un exĂ©cutoire Ă  sa crĂ©ativitĂ©, il devient plus facile de soigner de vieilles blessures, de se connecter aux autres ou bien tout simplement de s'amuser. La seule personne que vous avez besoin d'impressionner, c'est vous-mĂȘme [9] ! Avec le temps, le fait de laisser libre cours Ă  votre crĂ©ativitĂ© vous aidera Ă  vous accepter. Écrivez dans un journal intime. Allez danser. Faites un collage. Pratiquez ce genre d'activitĂ© deux fois par semaine. 5Respectez vos valeurs. Dressez la liste des cinq valeurs qui vous tiennent le plus Ă  cƓur. Est-ce que l'intĂ©gritĂ© ou bien l'honnĂȘtetĂ© est primordiale Ă  vos yeux ? Valorisez-vous plutĂŽt la franchise ou bien la gentillesse ? Peut-ĂȘtre encore prĂ©fĂ©rez-vous l'Ă©lĂ©gance ou bien l'audace ? En dĂ©finissant avec prĂ©cision les valeurs essentielles Ă  vos yeux, vous dĂ©terminerez plus facilement ce dont vous avez besoin pour ĂȘtre heureux et Ă©galement ce que vous devez rechercher chez vos amis [10] . PublicitĂ© 1Observez les personnes de votre entourage. Si les personnes de votre entourage sont nĂ©gatives ou qu'elles passent leur temps Ă  juger les autres, vous aurez sans doute plus de mal Ă  vous accepter tel que vous ĂȘtes [11] . Recherchez plutĂŽt des personnes qui vous encouragent et qui ont elles-mĂȘmes l'air de se sentir bien dans leurs baskets. Passez le moins de temps possible avec les gens qui passent leur temps Ă  se plaindre ou bien Ă  crĂ©er des conflits inutiles [12] . 2 Entourez-vous de personnes qui vous soutiennent. Pour vous sentir bien dans votre peau, il est essentiel de vous entourer de personnes qui veulent votre bien [13] . Il peut trĂšs bien s'agir d'un rĂ©seau formel, comme un groupe de soutien dirigĂ© par un thĂ©rapeute ou bien d'un rĂ©seau plus informel, comme un groupe d'amis [14] . En dĂ©veloppant de l'empathie pour les autres, vous dĂ©velopperez Ă©galement plus d'empathie Ă  votre Ă©gard. Assistez Ă  une rĂ©union ou bien organisez-en une durant laquelle chacun de vos amis pourra recevoir le soutien dont il a besoin. Organisez ce genre de rĂ©union une fois par mois. 3 Soyez gentil avec les autres. Des Ă©tudes scientifiques ont montrĂ© qu'en Ă©tant gentil envers les autres, on vit plus longtemps ! En faisant quelque chose de gentil pour quelqu'un d'autre, vous vous apprĂ©cierez davantage [15] . Essayez de faire quelque chose de gentil pour les autres, sans rien attendre en retour. Vous vous sentirez rapidement mieux dans votre peau. Faites un compliment Ă  la caissiĂšre sur sa tenue. Laissez votre place Ă  quelqu'un dans le bus. Servez la soupe dans un refuge pour les sans-abris. Faites un geste, petit ou grand, pour les autres. 4 Pratiquez la gratitude. Chaque fois que vous doutez de vous-mĂȘme, essayez Ă  la place de vous concentrer sur la gratitude. Faites la liste de cinq choses pour lesquelles vous vous sentez reconnaissant Ă  ce moment prĂ©cis. Prenez ensuite le temps de vraiment rĂ©flĂ©chir Ă  chacune de ces choses. Comment vous sentez-vous sachant que vous avez ces choses dans votre vie [16] ? RĂ©flĂ©chissez Ă  quelque chose que vous apprĂ©ciez dans votre apparence physique. Peut-ĂȘtre avez-vous des cheveux superbes ? Pensez Ă  quelque chose que vous apprĂ©ciez dans votre personnalitĂ©. Peut-ĂȘtre ĂȘtes-vous bon Ă  l'Ă©cole ? Pensez Ă  une personne que vous aimez. Peut-ĂȘtre ĂȘtes-vous proche de votre mĂšre ? 5Essayez de vous accepter. Lorsqu'on ne s'apprĂ©cie pas soi-mĂȘme, on n'apprĂ©cie gĂ©nĂ©ralement pas les autres [17] . Cela fonctionne dans les deux sens. Si vous cessez de juger les autres et que vous essayez de les accepter tels qu'ils sont, vous finirez par vous accepter vous aussi tel que vous ĂȘtes. Ne jugez pas les actions, les choix ou la personnalitĂ© de quelqu'un d'autre, arrĂȘtez tout de suite. Souvenez-vous que cela ne vous concerne pas. PublicitĂ© Conseils Lisez des livres de dĂ©veloppement personnel pour en apprendre davantage sur l'estime de soi ou sur le dĂ©veloppement personnel d'un point de vue thĂ©orique. Essayez de communiquer davantage avec les personnes que vous voyez tous les jours. Vous vous sentirez rapidement mieux dans votre peau et les autres vous verront comme quelqu'un de trĂšs naturel. Munissez-vous d'un carnet de notes ! Les listes et l'Ă©criture sont des outils importants. Offrez-vous un beau carnet pour commencer votre voyage vers l'acceptation de soi. Apprenez d'abord Ă  vous aimer ! Il est difficile d'ĂȘtre aimĂ© par les autres lorsque l'on ne s'apprĂ©cie pas soi-mĂȘme. Cessez de vous mĂ©priser vous-mĂȘme. PublicitĂ© Avertissements Ne vous attendez pas Ă  vous apprĂ©cier si vous faites preuve de prĂ©tention ou d'une confiance exagĂ©rĂ©e. PublicitĂ© RĂ©fĂ©rences À propos de ce wikiHow Cette page a Ă©tĂ© consultĂ©e 22 608 fois. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ? Abonnez-vous pour recevoir la newsletter de wikiHow! S'abonner ga2p6.
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